La biologie-santé est un domaine qui me passionne en particulier les neurosciences et la biologie moléculaire.
J'ai acquis des connaissances et une expertise sur les différentes maladies humaines, notamment les infections, les neuropathies et l'arthrose. Durant mon master à l’Université américaine de Beyrouth (AUB) au Liban, j'ai étudié l’effet d’ADN viraux sur les mécanismes d’auto-immunité et précisément la sclérose en plaque (maladie du système nerveux central).
Au cours de ma thèse de doctorat à l’Université de Montpellier (UM) en France, j'ai testé une approche innovante de thérapie génique pour une neuropathie héréditaire incurable appelée Charcot-Marie-Tooth de type 1A (CMT1A). Le fil conducteur entre mon master et mon doctorat est la myéline, cette fameuse gaine entourant les nerfs et qui, détruite, provoque des maladies neurodégénératives comme la sclérose en plaque ou CMT1A.
Souhaitant étendre mon champ d’expertise en neuropathies, durant mon premier post-doctorat à l’AUB, j’ai développé des modèles animaux de rats pour l'épilepsie. Voulant mieux comprendre les pathologies humaines afin de trouver des thérapies alternatives, durant mon premier post-doctorat à l’UM et durant mon poste d’enseignant-chercheur contractuel à l’Université de Paris Est Créteil (UPEC), j'ai développé différents modèles : un modèle animal d'embryons de poisson zèbre pour l'infection avec la bactérie nosocomiale Pseudomonas aeruginosa à l’UM et un modèle cellulaire d’arthrose à l’UPEC.
J’ai toujours aimé transmettre mes connaissances aux étudiants en utilisant des méthodes pédagogiques innovantes. J’enseigne, entre autres, la biologie moléculaire et la bioéthique à Cergy Paris université (CYU).