Revue de presse du 15 mars 2023

Pour retrouver la revue de presse du 31 mars 2023

Les droits des femmes : la Journée du 8 mars se concentrait sur le numérique

Le 15 mars 2023

Extrait : L’année 1977 a vu la mise en œuvre de la Journée internationale des droits de la femme par l’ONU. La France a reconnu cette journée en 1982, et chaque année de multiples manifestations visent à évaluer ce qui a été gagné pour aller encore plus loin en matière de droits et d’égalité. Le sujet officiel de l’édition 2023, “Pour un monde digital inclusif» (Pour un monde numérique inclusif), a été décrit par le Premier ministre français Borne.

L’égalité entre les femmes et les hommes, déclarée grande cause nationale en 2017 et 2022, est un objectif prioritaire en France »qui doit tous nous mobiliser sans relâche”. Le Chiffres clés de l’égalité publiés en décembre montrent que « malgré des avancées significatives sur la voie de l’égalité, un engagement soutenu haut et fort par l’État, ses services déconcentrés, ainsi que par les associations, les collectivités locales et les acteurs privés, le rapport révèle que des inégalités subsistent ».
[…]

Autant d’actions dans les établissements d’enseignement supérieur
Cette année, de nombreux établissements d’enseignement supérieur français ont prévu une multitude d’actions pour célébrer la Journée internationale des droits des femmes. Il s’agit d’un moyen pratique de agir pour l’égalité et lutter contre les violences sexistes et sexuellesà travers une série d’événements et d’initiatives.
Dans les universités de toute la France, des actions sont prévues, telles que :

• à CY Cergy Paris Université, avec en point d’orgue son Service de santé des étudiants et son Service des sports pour célébrer la journée internationale des droits des femmes avec plusieurs ateliers thématiques : contraception, autodéfense, consentement, lutte contre le harcèlement, etc.

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CY Cergy Paris Université tope avec Roissy-CDG pour adapter l'offre de formation aux entreprises

Par Hugo Robert, le 14 mars 2023

Extrait : L'université du Val-d'Oise vient de signer un partenariat avec le groupement d'intérêt public CDG Alliance. L'objectif est d'adapter le catalogue des formations aux besoins des entreprises, en mal de bras.

Anticiper les métiers de demain et tarir la pénurie de main-d'oeuvre. C'est l'objectif d'une convention de partenariat conclue entre CY Cergy Paris Université (Val-d'Oise) et le groupement d'intérêt public (GPI) CDG Alliance pour rapprocher la formation universitaire des besoins des entreprises sur la plate-forme de Roissy-CDG, plus grand aéroport français.
À travers des rencontres et des forums d'orientation, les deux entités vont tenter de faire coïncider les besoins sur l'un des plus gros bassins d'emploi du Val-d'Oise (plus de 90.000 personnes) avec l'université et ses 26.000 étudiants.

Catalogue de formations
« Ce rapprochement est un moyen de professionnaliser notre action, de la détection des besoins à l'adaptation de l'offre universitaire », explique France Velazquez, vice-présidente de l'université déléguée à la formation professionnelle. Concrètement, en fonction des besoins des entreprises, l'université pourra modifier son catalogue de formations et proposer des stages et des apprentissages sur la plate-forme.

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Bac : les conseils d’une bachelière pour réussir

Par Pauline Dessillons, le 13 mars 2023

Extrait : Le Bac marque la fin du lycée et le début des études supérieures. Les élèves s’y préparent tous avec beaucoup d’attention. Ce fut le cas de Camille, 18 ans, actuellement en première année de prépa intégrée de mathématiques option physique à la CY Tech de Cergy. Elle a obtenu son Bac en 2022 et vous partage ses astuces pour être efficace et réussir le jour J.

Gérer son temps
Pour réviser le baccalauréat, et tout autre examen d’ailleurs, il est important de savoir gérer son temps. Pour cela, plusieurs techniques existent mais celle que préfère Camille est la méthode Pomodoro : « Il s’agit d’une méthode fractionnant le travail en intervalles de temps déterminés. Pour le Bac, je dressais une liste des tâches que je devais accomplir, puis je divisais mes séances de révisions par tranches de 25 minutes, entre lesquelles je prenais 10 min de pause. A chaque fois que j’avais fait 4 fois 25 minutes, je pouvais prendre un temps d’arrêt plus long d’environ 30 minutes. Cette technique suggère de se concentrer intensément pendant 25 minutes, et cela est plus encourageant de se dire qu’on doit travailler pendant deux heures sans s’arrêter. »

Relire ses cours le soir
Le cerveau traite toutes les informations de la journée pendant que nous dormons, plus précisément pendant la phase de sommeil paradoxal. Ainsi, réviser avant de se coucher favoriserait la mémorisation. Camille le confirme : « J’avais pris l’habitude de relire un peu tous les soirs les fiches de révisions que j’avais faites et je trouve que je retenais mieux les formules de mathématiques notamment. J’y passais 10 minutes seulement, mais je me concentrais réellement dessus pour que ce soit efficace. C’est vrai qu’elles n’étaient pas spécialement jolies et colorées pour ma part, mais j’avais écrit le plus important et je les comprenais. »

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Réforme des retraites : « Très tôt, les travailleurs de l’énergie ont eu conscience de leur place éminente dans l’économie »

Par Adrien Pécout, le 14 mars 2023

Extrait : Spécialiste du syndicalisme, Stéphane Sirot, professeur d’histoire à l’université de Cergy-Pontoise, montre comment dès le début du XXe siècle, les travailleurs de l’énergie ont eu conscience de leur place éminente dans le fonctionnement de l’économie. Les électriciens ont activement participé à la première grande grève sur les retraites, celle d’août 1953
Comme le secteur des transports, celui de l’énergie (électriciens, gaziers, raffineurs) est aux avant-postes dans la mobilisation actuelle contre le projet gouvernemental de réforme des retraites. Dès le début du XXe siècle, « les travailleurs de l’énergie ont eu conscience de leur place éminente dans le fonctionnement général de l’économie », note le spécialiste du syndicalisme Stéphane Sirot, professeur d’histoire à l’université de Cergy-Pontoise.

Pourquoi retrouve-t-on aujourd’hui les salariés de l’énergie aux avant-postes de la mobilisation ?
Electriciens et gaziers ont encore une forte identité professionnelle. Ce sont des métiers à statut. Le statut national du personnel des industries électriques et gazières est une grande conquête sociale de l’après-seconde guerre mondiale [avec le départ anticipé à la retraite, selon la pénibilité des métiers]. Une conquête dont la libéralisation de l’énergie en Europe menace, depuis une trentaine d’années, la pérennité ou le périmètre.

Ce statut, comme l’avenir de l’entreprise EDF, suscite une certaine unité syndicale, avec la CGT encore très fortement implantée et combative. Même si elle a reculé, elle demeure la première organisation syndicale [38 % des voix aux élections professionnelles des électriciens et gaziers, en 2019].

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L’alliance européenne Eutopia lance la certification Ecotopia, un "terrain d’essai du label diplôme européen" (Cergy)

Par Camille Mordelet, le 13 mars 2023

Extrait : Eutopia, l’alliance européenne à laquelle appartient CY Cergy Paris Université, a lancé fin janvier 2023 "Ecotopia", un programme bachelor en trois ans co-créé par sept des dix universités de l’alliance, indique un communiqué de presse du 6 mars 2023. Le programme, orienté sur l’économie, la gestion et les affaires, mais aussi sur le développement durable, "accorde aux étudiants qui réussissent une certification européenne et leur principal diplôme national ou scolaire". Il s’affirme comme l' "un des terrains d’essai du label diplôme européen, dans le cadre du projet EdLab, nouvellement lauréat de l’appel à projets de la Commission européenne" (lire sur AEF info). Avec, derrière, l’ambition de "repenser" la "collaboration institutionnelle" entre les établissements et "construire d'ici 2050 un master européen en économie", affirme Mathieu Martin (CY), l’un des architectes du programme.

Lire l’article sur l’AEF Info

Quoi de neuf dans les grandes écoles du numérique ?

Par Marie Maillard, le 13 mars 2023

Extrait : CY Tech, SUPINFO, EPITA, ESEIA, ISEN, Epitech, IIM, Web School Factory, ECAM… ces écoles du numérique forment celles et ceux qui viendront renforcer votre équipe. Retour sur leurs dernières actus et leurs pédagogies les plus innovantes.

A l’heure où le numérique évolue à vitesse grand V et trouve de plus en plus sa place dans notre quotidien, les écoles du numérique travaillent constamment à l’évolution de leurs programmes et pédagogies pour répondre aux nouveaux enjeux du numérique et aux attentes des nouvelles générations. L’objectif premier étant de préparer les professionnels de demain à maîtriser un monde digital qui n’a pas fini d’évoluer. Un apprentissage du numérique qui fait d’ailleurs partie des stratégies 2023 du Gouvernement. L’Etat considère en effet que « le renforcement des compétences numériques des élèves est un impératif, constituant un enjeu pour la démocratie ». Un enjeu que les grandes écoles du numérique ont déjà pris en main en fournissant aux actifs de demain un enseignement innovant et inclusif, parfois international, et surtout, en adéquation avec le marché et les besoins des étudiants. Toutes les dernières actus de ces grandes écoles du numérique qui préparent les jeunes talents à un monde où le numérique sera omniprésent.

CY Tech : une ambition mondiale
Pour CY Tech, l’ouverture internationale est un incontournable pour enrichir sa formation, sa maîtrise d’une langue étrangère et son ouverture sur le monde. L’école a d’ailleurs noué des partenariats avec plus de 80 établissements à travers le monde, offrant ainsi un large panel de destinations à ses étudiants. Parmi ces nombreux partenariats, l’école vient notamment de signer un accord Erasmus avec l’Université de Technologie et des Sciences Humaines de Radom (Pologne). Une collaboration qui vise à favoriser la mobilité des étudiants de CY Tech en informatique, génie civil, biotechnologie et finance, mais également du personnel et des enseignants.

Lire l'intégralité de l’article sur Monde des Grandes Ecoles et Universités

Bachelor ACT : premier bilan positif pour la formation engagée de l’ESSEC et CY

Par Max Arengi, le 6 mars 2023

Extrait : En septembre 2022, la première promotion du Bachelor ACT faisait sa rentrée. Six mois plus tard, la formation conjointe entre l’ESSEC et CY Cergy Paris Université dresse un premier bilan positif de ce bachelor qui sensibilise aux transitions écologique et sociétale.

Il y a plusieurs mois, l’ESSEC et CY Cergy Paris Université ont fait le constat que peu de formations post-bac existaient autour des transitions environnementale et sociale. Pourtant, ces sujets intéressent fortement les nouvelles générations qui rejoignent du coup d’autres établissements qui se sont positionnés autour de ces thématiques.
En outre, la prise en compte de ces dimensions dans l’entreprise rend également nécessaire la formation de talents autour des transitions. D’après l’Ademe, un million d’emplois autour de la seule transition écologique seront créés d’ici 2050. Former les étudiants à ce sujet, c’est également former les acteurs de la transformation du monde de demain.

Premier bilan du Bachelor ACT
À la rentrée de septembre 2022, une trentaine de jeunes engagés ont fait leurs premiers pas au sein du Bachelor ACT, une formation qui nourrit leur appétence pour les sujets liés aux transitions écologique et sociale. La plupart d’entre eux étaient d’ailleurs engagés dans une cause avant d’intégrer ce parcours.
[…]

Si les étudiants sont tous en train de débuter leur stage de fin de première année, pour acquérir une expérience professionnelle qui fera la différence sur le CV, ils sont déjà convaincus qu’ils poursuivront leurs études en master après le Bachelor ACT.
L’objectif ? Se perfectionner dans leur domaine et participer à la transformation de la société.

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INSHEA : changement de nom en Insei et déplacement du siège à Saint-Germain-en-Laye, le décret publié

Le 6 mars 2023

Extrait : L’INSHEA (Institut national supérieur de formation et de recherche pour l’éducation des jeunes handicapés et les enseignements adaptés) devient l’Insei (Institut national supérieur de formation et de recherche pour l’éducation inclusive).
Le siège de l’institut est déplacé de Suresnes à Saint-Germain-en-Laye.
Les statuts de l’institut sont modifiés et les mandats, d’une durée de trois ans, sont portés à quatre ans.

Telles sont les principales modifications relatives à l’INSHEA, selon un décret du 03/03/2023 publié au Journal officiel du 04/03.

Au sein du conseil d’administration, le maire de Saint-Germain-Laye remplace le maire de Suresnes et le président de CY Cergy Paris Université siègera en remplacement du président de l’Université Paris Nanterre. De plus, parmi les six personnalités qualifiées, deux sont désormais nommées par les autres membres du conseil d’administration.

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